SafeBoot : la protection des données incombe aux entreprises

donderdag 22 november 2007

La perte des données bancaires de 25 millions de Britannique illustre une
nouvelle fois les carences en matière de politique de sécurité


Nieuwegein, 22 novembre 2007 – La nouvelle est tombée hier : un
fonctionnaire britannique a perdu deux cédéroms qui contenaient les données
personnelles de 25 millions de Britanniques, notamment les numéros
d'allocations familiales, les données bancaires et les numéros d'assurance
nationaux. SafeBoot, fournisseur néerlandais de logiciels de sécurité
destinés aux données, appareils et ordinateurs mobiles en environnement
professionnel, pointe du doigt le laxisme en matière de données (mobiles)
critiques, dû au fait que les entreprises n'assument pas elles-mêmes la
responsabilité en matière de sécurité des données.

Tom de Jongh, product manager chez SafeBoot : « En matière de traitement
circonspect de données critiques, on observe trop souvent que les
entreprises comptent sur le sens de la responsabilité de leurs employés, ce
qui, une fois de plus, s'avère une grave erreur. Souvent, les employés n'ont
pas conscience des risques, et ne disposent pas des connaissances requises
pour savoir comment traiter les données dans des conditions sûres. Outre
l'offre de formations adaptées, nous prônons également l'utilisation
obligatoire de moyens techniques efficaces et incontournables pour
l'utilisateur, comme par exemple le cryptage. Ces moyens existent et doivent
être déployés au sein de l'entreprise par la voie hiérarchique. »

Une étude de marché récemment menée par SafeBoot auprès de 1.300 employés
britanniques, allemands, néerlandais et belges, a d'ores et déjà révélé
l'incroyable laxisme dont les employés font preuve vis-à-vis des données de
l'entreprise. Une attitude qui s'explique par le fait que, souvent, ils
jugent trop complexe le logiciel de sécurité que leur employeur a installé
sur leur ordinateur portable (50 pour cent des personnes interrogées le
confirment).

Deux tiers des personnes interrogées pensent d'ailleurs que le vol
d'identité n'est qu'un phénomène de mode et estiment très peu probable d'en
être eux-mêmes les victimes.

"Pour le moment, les utilisateurs belges ne prennent conscience des risques
pour la sécurité que par le biais des 'affaires' liées à la sécurité des
données et aux opérations bancaires sur Internet. Raison de plus pour que
les entreprises attirent constamment l'attention de leurs collaborateurs sur
les risques de sécurité en leur indiquant comment les gérer." conclut Tom de
Jongh, product manager chez SafeBoot.