Une consommation de papier inefficace réduit la productivité du secteur financier

maandag 11 september 2006

Zaventem, le 11 septembre 2006 – Le monde financier accuse un sérieux retard quant à la réduction de la consommation de papier. Bien que les lois et les règlementations empêchent le fonctionnement d’un bureau de ce secteur sans utiliser de papier, les banques et assureurs perdent une grande partie de leur productivité à cause du traitement inefficace des documents. Voici ce qui ressort d’une étude de Lexmark sur la consommation de papier dans les entreprises européennes.

À cause de la grande quantité de documents dans le secteur financier, le délai d’attente pour un prêt auprès d’une banque par exemple ou une déclaration de frais chez un assureur, atteint parfois près de quatre jours. Ce délai est principalement dû aux nombreuses opérations effectuées, comme la copie, l’envoi par la poste ou le balayage (e.a. pour un archivage numérique et/ou une intégration dans les systèmes de gestion de documents).

Plus d’un cinquième (21 %) de tous les employés de banques européennes consacre plus d’une heure par jour à traiter des documents. Cela représente près de 260 heures par an. Sur les 755 employés interrogés, 16 % ont indiqué devoir traiter plus de 100 formulaires par jour.

Chez les assureurs, environ 15 % des employés perdent une heure à cause du travail administratif. Un quart des 638 employés en assurances interrogés traite 10 formulaires par jour, tandis que 14 % disent se charger de plus de 100 formulaires.

Gaspiller les heures, pas le papier
L’étude montre que le secteur financier imprime bien plus que la moyenne européenne de 34 pages par employé et par jour. 32 % des employés en assurances impriment en moyenne plus de 100 pages par jour contre 43 % des employés de banque.

Bien que les documents imprimés soient bien plus nombreux, le monde financier prête attention à l’impression des documents. Environ 18 % des pages imprimées ne sont plus jamais parcourues ; il s’agit d’un faible pourcentage par rapport aux 25 % du détail par exemple.

« L’étude montre principalement que les banques et les assureurs traitent leurs documents de manière inefficace », affirme Danny Molhoek, General Manager de Lexmark Benelux. « Par conséquent, nous avons développé, avec les entreprises du secteur financier, des solutions spécifiques qui simplifient et accélèrent le traitement des documents ».